Dans l\'air du temps, il flotte une amertume,
Des plaintes en essaim, envahissent les plumes,
Les compliments, jadis, couleur d\'une saison,
Sont dévorés par les vents de la raison.
Naguère, les louanges doux comme du miel,
Éclairaient nos cœurs, nous rendaient immortels.
Aujourd\'hui, les mots sont armes de guerre,
Et chaque jour qui passe, nous perdons la lumière.
Où est le temps, des sourires et des roses ?
Où la critique était sage, et la parole, osée ?
La gentillesse est une langue qui se repose,
Dans ce monde moderne, elle est souvent négligée.
Élevons nos voix, non pas pour nous plaindre,
Mais pour chanter l\'amour, et la bonté à peindre.
Rappelons-nous de la chaleur d\'un compliment,
Qui éclaire nos âmes plus que tout argument.
Dans cette ère de bruit, retrouvons le silence,
Et laissons parler notre cœur, notre essence.
Pour un monde de paix, nous devons tous apprendre,
Qu\'un compliment sincère peut tout transcend
Dans l\'air du temps, il flotte une amertume,
Des plaintes en essaim, envahissent les plumes,
Les compliments, jadis, couleur d\'une saison,
Sont dévorés par les vents de la raison.
Naguère, les louanges doux comme du miel,
Éclairaient nos cœurs, nous rendaient immortels.
Aujourd\'hui, les mots sont armes de guerre,
Et chaque jour qui passe, nous perdons la lumière.
Où est le temps, des sourires et des roses ?
Où la critique était sage, et la parole, osée ?
La gentillesse est une langue qui se repose,
Dans ce monde moderne, elle est souvent négligée.
Élevons nos voix, non pas pour nous plaindre,
Mais pour chanter l\'amour, et la bonté à peindre.
Rappelons-nous de la chaleur d\'un compliment,
Qui éclaire nos âmes plus que tout argument.
Dans cette ère de bruit, retrouvons le silence,
Et laissons parler notre cœur, notre essence.
Pour un monde de paix, nous devons tous apprendre,
Qu\'un compliment sincère peut tout transcender.
© Susie Stiles Wolf