ANALYSIS OF THE FRENCH VERSION BY CHATGPT ON 27 APRIL, 2023
(Translation of "The gravedigger")
Le 27 avril, 2023
To ChatGPT on the poem “Le fossoyeur"
Request for analysis.
S. Ragavan : voici le poème à analyser. Faites, svp, une analyse détaillée; comparez avec d'autres poèmes similaires; analysez section par section, puis faites une analyse générale; démontrez les aspects philosophiques, sociétaux, etc.; les métiers humbles et comment on traite ces travailleurs; la vanité humaine; les vaines prétentions humaines; la vie des riches et des démunis, et tout autre commentaire que vous souhaitez, etc. Poème : "LE FOSSOYEUR"
ChatGPT :
Le poème "Le Fossoyeur" est un poème sur le métier de fossoyeur, mais il est également une réflexion sur la vanité humaine et la mortalité. Le poème est divisé en plusieurs sections, chacune décrivant une scène différente du travail du fossoyeur. Dans chaque section, le poète utilise des descriptions imagées pour montrer le dur labeur du fossoyeur et le mépris avec lequel il est souvent traité.
Dans la première section, le fossoyeur prend une pause pour se reposer sous un arbre et regarde la mer. Il est alors interrompu par des critiques de la profondeur et de la largeur de la fosse qu'il a creusée. Cela montre comment même les travailleurs les plus humbles sont sujets au mépris et à la critique.
Dans la deuxième section, le fossoyeur rencontre un os qui refuse de tomber dans la fosse. L'os est décrit comme "récalcitrant" et "défiant la boue", ce qui suggère que même la mort peut être un défi à surmonter. Lorsque l'os est finalement jeté hors de la fosse, le fossoyeur jure silencieusement que les vivants qui le méprisent finiront de la même manière. (L’os était déjà dans la fosse. SR)
Dans la troisième section, le fossoyeur saute sur le cercueil qui est descendu dans la fosse, pour éviter de tomber avec lui. Il est raillé par certains membres de l'assemblée, mais il se moque d'eux en disant qu'il n'est pas pressé de mourir. Cette scène montre comment les vivants peuvent être obsédés par leur propre préservation, même lorsqu'ils assistent à un enterrement. (Les gens présents trouvaient amusante la remarque du fossoyeur. SR).
Dans la quatrième section, le poème prend une tournure plus philosophique. Le poète évoque la façon dont les vivants se détestent les uns les autres jusqu'au fond des os, mais que les morts pourrissent en silence. Les vers qui mangent les cadavres sont décrits de manière vulgaire, soulignant la nature brutale de la mort. Le poète conclut en disant que, contrairement aux autres os, les siens ne se baladeront pas après sa mort. Il veut que ses cendres soient jetées dans un bucher funéraire pour nourrir la montagne, une façon de souligner que la vie et la mort sont étroitement liées. (Les cendres ne seront pas jetées dans un bucher funéraire. Elles seront balayées par le vent vers la montagne proche. SR).
Le poème se termine par une réflexion sur la mort et la fin inévitable de toutes choses. Le poète utilise l'image d'une ballade finale pour montrer que la mort est une étape inévitable de la vie.
En ce qui concerne les comparaisons avec d'autres poèmes similaires, "Le Fossoyeur" partage des thèmes communs avec d'autres poèmes sur la mort et la mortalité, tels que "Thanatopsis" de William Cullen Bryant et "Crossing the Bar" d'Alfred Lord Tennyson. Le traitement des travailleurs humbles est également un thème commun dans la poésie, comme dans "The Unknown Citizen" de W. H. Auden.
S. Ragavan : Je vous remercie. Au revoir.
ChatGPT :
De rien, au revoir et n'hésitez pas à revenir si vous avez d'autres questions ou besoins d'analyse de texte.
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LE FOSSOYEUR
(Translation of “THE GRAVEDIGGER”)
Alors que de la mer venait une brise salée,
Sa tâche pour un instant le fossoyeur cessa ;
Sous un arbre proche lourdement l’homme se jeta,
Tournant son regard vers la mer, cette pompe.
“Pas assez profond !” lui lâcha quelqu’un avec dédain ;
“Pas assez large,” tonna quelqu’un avec arrogance ;
Alors, dans la fosse de nouveau se jeta le fossoyeur,
Et repris sa fouille, à sa manière glaçante.
“Un peu plus de cette terre vous demandez,”
Il se dit tout bas, “et, tout de suite vous l’obtenez !”
“Un peu plus profond, Sieur, et un peu plus large ?
Alors, dites quand ! Après tout, je ne suis qu’un fossoyeur !”
Contre un os pourri soudain il frappa,
Un os récalcitrant, encore en vain défiant la boue,
Refusant de tomber aux bêtes comme souper,
Et envoyant dans l’assistance un frisson, un frémissement.
Tenez ! De la fosse qu’il avait creusée, dans son dur labeur,
Jaillit une fuite, une fuite, une fuite montante !
La mer y pénétrait, y arrivait sous le sol,
Suintait même sous la tombe, si humide, si désolante.
Sans autre forme de procès, l’os il jeta dehors,
Le lança pour que tous puissent le voir ;
Aux maîtres vivants il n’osait pas répondre,
Alors, l’os désolant il lâcha avec plaisir.
« Ouais, mes semblables pouvez-vous bien dominer, »
Se jura silencieusement le brave fossoyeur,
« Et, autant que vous voulez, baladez-vous là-bas :
Comme cet os tôt ou tard vous finirez ! »
Comme dans la fosse le cercueil fut descendu,
Sur la terre avoisinante le fossoyeur glissa ;
Vers une seule direction pointait cette terre :
Glissez dans la tombe, murmurait-elle.
Soudain bondissant pour faire face au défi,
L’homme se redressa avec une certaine agilité ;
Lâchant la corde, il sauta dans la fosse,
Et atterrit sur le cercueil : sur ses pieds.
Même au bord de la fosse monta la préservation de soi,
Monta chez les vivants, au moins, avec une passion ;
« Holà ! Pas si vite ! » au cadavre lâcha l’homme,
« Je dis, je ne suis pas pressé ! Mais, bonne tentative ! »
Une partie de l’assemblée éclata de rire,
Un rire d’outre-tombe, rapidement supprimé ;
Les os furent jetés pêlemêle
Dans la tombe, où la pourriture recommença.
&&&
Jusqu’au dernier souffle,
Les vivants se déchirent entre eux :
Là-bas, les cendres des morts se mélangent
Et tourbillonnent ;
Un dernier discours pendant l’enterrement,
Au bord de la fosse :
C’est suffisant pour nettoyer l’ardoise des deux côtés.
Jusqu’au fond des os, les vivants se détestent :
Là-bas, les os des morts en silence se frottent,
Pourrissent.
Les vers rampants vulgairement
Nous chassons des vivants :
Maintenant, avec plaisir, à loisir,
Ils dinent sur les cadavres.
Mais, ces os, les miens, n’iront pas se balader !
NON ! Allumez le feu du bucher funéraire,
Car, c’est ma volonté finale, mon désir implacable :
Avant que ma mort n’arrive, mes ordres tonnent !
Oui, mes cendres tourbillonnantes nourriront la montagne :
Je le dis à vous tous, Messieurs, ce sera mon acte final !
Même si cela ressemble à de la versification absurde,
Pour moi, n’ont aucun sens les os qui trimbalent !
Si cela soit un souhait de mort,
Avec la mort il périra :
Si cela soit un souhait de mort,
Avec la mort il disparaitra :
Car, de cela, aussi bien que du reste,
Les flammes en raffolent,
Pendant que, dans le feu explosif,
Tout elles démolissent !
Comme la dernière ballade
Nous accomplirons dûment,
Notre corps ballotant lâchera tout finalement ;
Certains sont promis aux cendres,
D’autres aux poussières,
Mais, notre poésie immortelle
Est à l’abri de toute rouille !
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- Author: Soman Ragavan (Pseudonym) ( Offline)
- Published: May 29th, 2023 00:11
- Category: Unclassified
- Views: 3
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